Pages

lundi 4 mai 2015






Les pays asiatiques n'ont pas tous, à franchement parler, des régimes politiques enviables mais il y a des choses sur lesquelles il est bien difficile de passer...!
Pour information voilà le témoignage bouleversant d'une coréenne du Nord...!! Elle va vous raconter ce qu'elle a vécu...!! Ahurissant...!! Et combien d'autres évènements pourraient être racontés ici...??!

https://youtu.be/I6AqM33SD74





jeudi 18 septembre 2014



Voulez-vous que je vous raconte une autre histoire...? Celle-ci est bien différente...
Elle va vous raconter des morceaux de cette légende un peu mystérieuse qu'est la légende bouddhiste...
Je n'ai rien inventé, tout est vrai...
Alors rendez-vous ici : http://thailande-actualites.weebly.com/le-mauvais-mariage.html
Cette "histoire" est sur la même page que celle dont je vous ai parlé hier..."Le mauvais mariage...."
A bientôt...

mercredi 19 février 2014

Bangkok sombre dans la violence...!






Un pas énorme dans la violence a été franchi hier à Bangkok ...!!
Allez lire et regardez aussi les vidéos que j'ai prises ce matin à la télé... Vous allez voir que ça ne rigole pas du tout...!! Les manifestants et la police se sont affrontés avec des armes à feu...!! On dénombre, pour l'instant, quatre morts et des dizaines de blessés...!!
Allez prendre connaissance de tout ça sur mon blog : http://thailande-actualites.weebly.com/
Vous verrez probablement ces images au journal de 13 h ou de 20 h, vous les avez ici en avant première...
A tout de suite.

mardi 18 février 2014

Venez comprendre ce qui se passe en Thaïlande en ce moment...



Si vous souhaitez comprendre ce qui se passe en Thaïlande en ce moment, je vous suggère de lire cet article. Tout vous est expliqué sommairement mais tout est dit...

« Nous en avons assez de cette politique, nous ne voulons plus d’élections. Nous seuls sommes légitimes pour choisir le prochain gouvernement et le soumettre à l’approbation de notre roi. »

Ainsi s’exprimait un manifestant devant un journaliste de l’AFP, ce lundi 9 décembre proclamé « Jour du Jugement » par Suthep Thaugsuban, le tribun qui mobilise depuis plusieurs semaines à Bangkok des foules impressionnantes contre le pouvoir thaïlandais issu des urnes.

Dans le Sud, acquis d’emblée à ce qu’il faut bien appeler une insurrection civile, on ne s’embarrassait pas de ces subtilités et l’imposant cortège qui saturait les rues de Phuket fêtait déjà le « jour de la victoire ».

Victoire ou jugement, l’avenir le dira dans un pays rompu aux coups d’éclat et aux retournements légendaires. Toujours est-il que le Premier ministre, Yingluck Shinawatra, chancelle et, avec elle, un système qui, s’il devait s’effondrer, provoquerait un tsunami politique ressenti bien au-delà des frontières du royaume.

Comptant parmi les nations capitalistes les plus dynamiques, la Thaïlande est en effet un cas à part. Engagée comme quasiment toute la planète dans la mondialisation, elle n’en a pas moins conservé ses institutions et ses traditions à peu près inchangées depuis le coup d’État de 1932 qui vit l’instauration d’une monarchie constitutionnelle sous l’égide d’un régime nationaliste. Hymne diffusé à heures fixes sur les ondes, port de l’uniforme généralisé des collégiens aux fonctionnaires, organisation très encadrée du respect dû à un monarque par ailleurs très vénéré, clergé bouddhiste et armée omniprésents dans la société, jusqu’au nom même du pays adopté en 1939 pour faire valoir les droits d’une hégémonie « thaïe » sur la région, tout symbolise ici aujourd’hui encore la singularité d’une démocratie établie par l’ancien parti unique qui avait su s’accommoder sans encombre du suffrage universel imposé après-guerre par les vainqueurs à l’allié de la dernière heure.

Ce subtil équilibre mariant tradition et modernité est pourtant mis à mal depuis les années 90 par le clientélisme dispendieux d’un milliardaire autodidacte, Thaksin Shinawatra. Frère de l’actuel Premier ministre, il s’assura alors des voix des grandes régions rurales du Nord-Est qui l’imposeront à la tête du pays en 2001. Depuis, manifestations, putsch militaire, condamnation et exil de l’affairiste n’y feront rien, la corruption à vaste échelle permet à sa famille richissime de rester aux commandes d’un État dont elle sape consciencieusement les bases.

Loin de l’interprétation sociale qu’en font aujourd’hui les médias occidentaux, c’est donc à la réaction massive d’un peuple soucieux de la préservation de son cadre de vie à laquelle on assiste aujourd’hui. En abusant de populations naïves qu’ils désorientent par le mirage d’un consumérisme effréné, les Shinawatra sont perçus ici comme l’avatar local d’une finance internationale sans scrupules, étrangère aux valeurs du royaume. Les élections leur étant ainsi systématiquement favorables, Suthep Thaugsuban propose donc de troquer le vieux principe démocratique occidental « un homme, une voix » contre une « démocratie absolue sous la monarchie constitutionnelle », dirigée par un « Conseil du peuple » non élu, d’esprit corporatiste et fondé, lui, sur l’histoire de la nation.

On comprend mieux la frilosité de nos médias à rendre compte de la réalité des événements thaïlandais. Une rébellion tout à la fois populaire et réactionnaire qui rejette le principe majoritaire de la démocratie, voilà qui ne figure pas dans leur grille de lecture.

lundi 17 février 2014

Etat d'urgence à Bangkok...!!

                                              



ETAT D'URGENCE
Suthep Thaugsuban a annoncé lundi soir qu'il mènera la "bataille décisive" contre le gouvernement de transition demain mercredi . Le secrétaire-général du "People's Democratic Reform Committee (PDRC)" a appelé à la mobilisation massive des Thaïlandais à Bangkok pour évincer le Premier ministre de transition, Yingluck Shinawatra et son gouvernement.
"Cela sera un grand rassemblement des partisans du PDRC" selon monsieur Suthep, qui s'est exprimé sur la scène du site de rassemblement de Silom. "Nous allons nous battre ensemble pour mener une bataille décisive". Il n'a pas fourni de détails. De nombreux agriculteurs, qui attendent toujours d'être payés, se réuniront à Bangkok le même jour, et le tribunal civil devra également dire, le 19 février, si la loi d'urgence imposée par le gouvernement est légitime.
La journée de ce mardi sera consacrée à une marche entre le carrefour de Pathumwan et Government House, afin de renforcer le dispositif de blocus du bâtiment. Un autre groupe de manifestants, conduit par l'ancien député Thaworn Senneam, se rendra au ministère de l'Intérieur pour empêcher la reprise en main des lieux par le CMPO.
Le directeur du "Centre for Maintaining Peace and+ Order (CMPO)", Chalerm Yubamrung, a promis que la Premier ministre allait reprendre possession de ses bureaux de Government House, fermés depuis plusieurs semaines en raison des manifestations.
(source : bangkokpost)



jeudi 13 février 2014

L'ambassade de France à Bangkok nous écrit ceci...

                                                                              


mardi 11 février 2014

Un leader de l’opposition abattu lors d'affrontements



Par RFI
Brusque aggravation de la crise politique en Thaïlande. Un leader du mouvement antigouvernemental a été tué par balles, apparemment par un groupe de « chemises rouges », c’est-à-dire de partisans de l’administration en place. Au moins trois autres membres du mouvement ont été blessés gravement lors de cet incident. La mort de Suthin Tharathin intervient alors que ses militants avaient réussi à faire fermer plusieurs bureaux électoraux dans la capitale où devait se dérouler - ce dimanche - le vote anticipé pour les élections législatives du 2 février.
Suthin Tarathin dirigeait un groupe antigouvermental, baptisé « l’Armée populaire pour renverser le régime de Thaksin », du nom de l’ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra, frère de l’actuelle cheffe de gouvernement, Yingluck Shinawatra. Il venait de négocier la fermeture d’un bureau de vote dans la proche banlieue de Bangkok, quand lui et ses hommes ont rencontré une cinquantaine de « chemises rouges », armées de bâtons et d’armes légères. Très vite, des coups de feu ont été tirés, une explosion a retenti, et plusieurs membres du mouvement antigouvernemental se sont effondrés. Suthin est mort peu après son transfert à l’hôpital.

Dans la journée, le mouvement avait réussi à faire fermer l’ensemble des bureaux électoraux de Bangkok où devait se tenir le vote anticipé pour les législatives du 2 février. Cette campagne a provoqué la frustration, voire la colère, de nombre d'habitant de Bangkok qui désiraient exercer leur droit démocratique.
Les manifestants s’opposent à la tenue des élections, car ils veulent opérer une réforme préalable du système politique, visant notamment à empêcher les achats de vote. Cette position semble surtout être celle des habitants de Bangkok et de quelques provinces du Sud. Un sondage publié vendredi a indiqué que 80% des Thaïlandais désiraient se rendre aux urnes pour les élections législatives.
PHOTOS : Des proches des blessés des manifestations de ce dimanche 26 janvier dans un hôpital de Bangkok.